photo Employé polyvalent / Employée polyvalente de restauration

Employé polyvalent / Employée polyvalente de restauration

Emploi Restauration - Traiteur

Cesson, 77, Seine-et-Marne, Île-de-France

Horaires : 35h avec une amplitude 8h / 23h. Possibilité d'arrangement horaire selon contraintes dans la limite du raisonnable. Une période de formation sera mise en place avant la prise de poste en passant par une préparation opérationnelle à l'embauche ( POE ) du 27 mai au 27 Juin 2025 : - Théorie : 28h soit 4j du 27 au 30 Mai 2025 - - Plateau technique : 133h soit 19j du 3 au 27 Juin 2025* : Centre Commercial Woodshop Restaurant CREPE TOUCH Zac de la Plaine du Moulin à Vent 77240 CESSON En plateau technique chaque apprenant aura un planning 35h par semaine avec 2 jours de repos. Missions principales : Assure le service de plusieurs Tables ou la gestion d'un rang Dresse et débarrasse les tables et les consoles Gestion du matériel et des produits d'entretiens Prend les commandes, procède aux encaissements Participe à l'entretien de la salle, du bar et des toilettes Peut intervenir sur le dressage des plats lors de rush en cuisine et également la plonge Assure les commandes VAE Gestion du bar Réalisation des boissons, cocktails, boissons chaudes Réaprovisionnement des stocks de boissons, de consommables VAE Réception des marchandises et rangement des réserves Nettoyage[...]

photo GERARD LENORMAN

GERARD LENORMAN

Spectacle musical

DAMMARIE LES LYS 77190

Le 27/03/2022 à 15:30

En 1969, Gérard Lenorman faisait un peu peur. Il était coiffé comme un Playmobil. Sur les plateaux de télévision, il chantait avec une joie presque effrayante, les yeux écarquillés. Et, à la pose extatique, il ajoutait sans complexe des paroles heureuses. Double blasphème... Car, cette année-là, Serge Gainsbourg susurre Elisa, Johnny Hallyday hurle Que je t'aime et France Gall, boudeuse, joue La poupée qui dit non. On chante l'érotisme ou les blessures amoureuses, la mine sombre. Il ne viendrait à l'esprit de personne de sourire derrière un micro. Sauf Gerard Lenorman. Dès 1970, il prévient « Laissons entrer le soleil », adaptée de la comédie musicale Hair. Ses chansons tournent autour des jours heureux, des fêtes des fleurs, des éclaboussures de mémoire, très loin des poses destroy et des astres noirs. Il la mène obstinément, même quand elle n'intéresse personne. Les années 80 n'auront que faire du bonheur, et lui préfèreront la jouissance. Qu'importe: Lenorman s'accommode de l'oubli et chante toujours, conscient d'être « bon qu'à ça » comme disait l'écrivain Samuel Beckett, une autre grande figure rock'n roll, obsessionnelle, à rebours de son temps… et visionnaire. Quand[...]